La souffrance des élèves français
La santé mentale, l’affaire de tous
Rapport remis à Mme Nathalie KOSCIUSKO-MORIZET le 17 novembre 2009
http://www.strategie.gouv.fr/IMG/pdf/RAPPORT_Sante_mentale_version_18nov09validdqs2.pdf
Centre d’analyse stratégique
P. 167. On constate ainsi que les jeunes Français sont les moins insouciants de tous, à cause de ce que Cécile van de Velde appelle « le poids du définitif » à savoir l’idée que, pendant sa jeunesse et ses études, on joue sa vie, les études représentant un couloir que l’on emprunte et que l’on ne peut plus quitter. Au sein de la société française, « le temps de la jeunesse, associé à celui des études, est pensé comme un investissement à vie, déterminant de façon quasi définitive la future place sociale de l’individu ». On remarque ainsi pour les jeunes Français une logique forte de statut, de marquage social par le diplôme.
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